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Info harkis:

Info harkis: l’association les Harkis et leurs amis et le cnlh appellent harkis, enfants de harkis et pieds-noirs à se rassembler pendant 1 à  2h devant la préfecture d' Agen

                                        le samedi 30 janvier à 13 heures   

pour montrer notre mécontentement sur le rapport du falsificateur de l' histoire benjamin STORA. Une lettre sera remise à Mr. Le Préfet pour le Président de la République. Venez nombreux. J’espère que tous les présidents d'associations suivront, pour une fois, dans leurs régions respectives.

 Azni André, Président des Harkis et leurs amis 


 

De la provocation à Ste Livrade?

 samedi 23 novembre à 17h30 soirée AOC de l’égalité pour Apéro ou Ateliers d’Origines Contrôlées en partenariat avec la revue ANCRAGE et le Rahmi.

Résistantes suivie d’un échange avec la réalisatrice Fatima Sissani et de la Projection du film un apéro.


Fr/1h16/Documentaire


Eveline, Zoulikha, Alice. C’est le regard croisé de trois femmes engagées au côté du FLN sur la colonisation et la guerre d’indépendance algérienne. Elles connaîtront la clandestinité, la prison, la torture, l’hôpital psychiatrique. C’est au crépuscule de leur vie qu’elles choisissent de témoigner, après des décennies de silence. Avec clarté et pudeur, elles racontent l’Algérie coloniale, la ségrégation, le racisme, l’antisémitisme, la prison, la torture, les solidarités, la liberté et aussi la nature qui ressource, les paysages qui apaisent, la musique et la poésie qui permettent l’échappée …

Les « AOC de l’égalité », entendus comme Apéros ou Ateliers d’Origines Contrôlées, c’est la possibilité de mieux comprendre ces questions contemporaines, en rencontrant ceux qui agissent au quotidien, en Aquitaine, en France et dans le monde.

 Une manifestation citoyenne et culturelle avec ceux qui défendent l’égalité des droits, des places et des chances : militants associatifs, acteurs institutionnels, artistes, chercheurs, journalistes, citoyens…

Le temps d’une soirée, autour d’un apéro, d’un film, d’un concert, d’un projet concret…, nous vous invitons à blablater, tchatcher, questionner ou simplement écouter.

Notre envie ? En découdre avec l’indifférence et les haines des temps qui courent. Et surtout, agir ensemble.

 


 

SAINTE LIVRADE :L’Utopie programme         « Résistantes », samedi. La projection du film, qui parle de femmes proches du FLN, est perçue comme une provocation. Chahut à prévoir( sud-Ouest de Julien Pellicier)

 

«Est-ce qu'un harki aurait le droit d'aller tourner un documentaire en Algérie ? » André Asni est en colère et multiplie les arguments pour tenter de justifier l'action - injustifiable - que des membres de la communauté harkie entendent mener au cinéma l'Utopie de Sainte-Livrade.

Les AOC (Apéros d'origine contrôlée) de l'Égalité, organisés par l'Association du lien interculturel familial et social (Alifs), basée à Bordeaux, prévoient samedi, à 17 h 3 0 une projection du documentaire « Résistantes », de Fatima Sissani. Un film qui présente le regard croisé de trois femmes engagées aux côtés du FLN sur la colonisation et la guerre d'indépendance algérienne. « Des résistantes ? » Ça dépend de quel côté on se place. Pour nous, ce sont des terroristes », enrage le président de l'association Les Harkis et leurs amis qui voit dans cette programmation, « en plein fief harki », une insulte ou une provocation.

Lui n'a pas vu le film, sorti en mars dernier, qui traite d'un pan de l'histoire de la Guerre Algérie et dont la projection est un préalable au débat Et tant pis si cette journée est organisée avec l'aide de la revue « Ancrage », qui entretient« la mémoire des métissages du Sud-Ouest » et a, dans ce cadre, souvent donné la parole  à la communauté harkie. »

Menaces de censure ? André Asni, connu pour user d'une totale liberté d'expression, entend ne pas l'accorder pleinement, même s'il s'en défend, à ceux qui a veulent témoigner d'un autre point de vue : « On ne va rien interdire. Nous sommes dans un pays de droit.. Le film sera projeté mais chahuté. On va payer notre place, entrer.. Ils veulent le diffuser ? Ils peuvent Mais à leurs risques et périls. »

À l'extérieur, il promet des banderoles, voire des drapeaux algériens brûlés. « Ça va être chaud », jure-t-il. Le  Directeur de la publication d'« Ancrage », Joël Combres a « essayé de lui expliquer les choses pendant  deux heures ». En vain, semble-t-il. Il connaît bien le personnage, depuis longtemps, et ne pense pas être en mesure de le changer : «André Asni fait beaucoup de ramdam. Il m'a dit qu'il voulait venir avec une étoile jaune sur son blouson... »

Pour ce premier AOC de l'Égalité décentralisé, le magazine s'est engagé auprès de l'Alifs, organisatrice, à« accueillir samedi matin au Café de Sainte-Livrade une délégation de militants qui viennent de Bordeaux 

afin de leur expliquer le contexte et leur montrer le camp de Bias ». « Ancrage » assistera ensuite à la projection, renvoyant les opposants à leurs responsabilités. « Boaza Gasmi, qui est un peu l'autorité de la communauté, sera là, reprend Joël Combres. Je lui ai détaillé les fondements de l'AOC et la démarche apaisante qui est celle de l’association. Quant au film, il ne s'agit pas d'un « Ils veulent le film anti-harkis diffusé ? Ils mais d'un film sur les femmes peuvent. Mais engagées dans à leurs risques les combats en et périls » Algérie. C'est une manifestation propice pour mettre en avant un certain nombre de sujets, ça peut être une bonne tribune pour les femmes harkies. C'est dommage car, là, cela dessert leur cause. On espère que l'on pourra quand même débattre.»

 

Suspicion permanente Le président du Comité national de liaison des harkis (CLNH) semble y être décidé. Un peu apaisé par les explications reçues de l'Alifs (lire ci-contre) mais toujours sur la défensive : « On aurait dû être contacté en amont pour comprendre, pour éviter tout ça On ne connaissait pas le contenu du film, on aurait pu tout imaginer. » Boaza Gasmi ne s'en cache pas : « rai prévenu les autorités et dit au responsable du cinéma que sa salle allait brûler si les harkis étaient insultés. » Le maire et « les RG » ont aussi été informés des vives tensions entourant cette projection. « Venir ici chez nous, en France, à 5 km du camp, on l'a pris pour une provocation. Imaginez que je fasse un film sur les massacres du FLN et que j'aille le présenter sans rien  dire à personne en Algérie... » Rassuré par l'association, Boaza Gasmi reste tout de même en alerte et sera présent sur place, samedi. « Si ça parle juste du rôle des femmes pendant la guerre d'Algérie, il n'y a pas de problèmes pour le débat Ça peut même faire naître un dialogue. Contenu du film, on aurait pu tout imaginer. » Boaza Gasmi ne s'en cache pas : «j’ai prévenu les autorités et dit au responsable du cinéma que sa salle allait brûler si les harkis étaient insultés. » Le maire et « les RG » ont aussi été informés des vives tensions entourant cette projection. « Venir ici chez nous, en France, à 5 km du camp, on l'a pris pour une provocation. Imaginez que je fasse un film sur les massacres du FLN et que j'aille le présenter sans rien dire à personne en Algérie... »

 Rassuré par l'association, Boaza Gasmi reste tout de même en alerte et sera présent sur place, samedi.« Si ça parle juste du rôle des femmes pendant la guerre d'Algérie, il n'y a pas de problèmes pour le débat Ça peut même faire naître un dialogue. Si ce n'est pas le cas, si les harkis sont insultés, ça va s'enflammer. »

Près de soixante ans après les faits, défiance et méfiance sont toujours de mise. Une suspicion permanente qui n'empêchera pas ce dernier, ainsi qu'André Asni sans doute, de faire visiter le camp samedi matin...

 

À 17 h 30, projection du film « Résistantes ». Tarif :5 euros. Renseignements au 0553402783. À 18 h 30, débat animé par Patrick Figeac avec Fatima Sissani, la réalisatrice et en présence de Chama Messaoudi, éleveuse berbère réfugiée en France en 1968, la directrice du CCAS de Marmande et l'ancienne députée PS de Lot-et-Garonne, Lucette Lousteau, qui est née à Oran.

 

                                                  « ASSOCIER TOUT LE MONDE AVANT »

 

Anne-Cécile Gordard coordonne ces AOC, « des manifestations culturelles et citoyennes qui rassemblent quelque 60 partenaires en Nouvelle-Aquitaine qui ont tous envie de questionner la bonne mise en œuvre des valeurs de la République, à commencer par l'égalité ». L'objectif du rendez-vous de samedi est comme toujours de « déclencher la discussion en se basant sur un support artistique et en veillant à croiser les regards ». La parole, donc, sera libre. Il s'agira de « mettre en lumière le parcours de femmes qui, dans le contexte de la Guerre d'Algérie, ont décidé de s'engager, parfois de mettre leur vie en danger. C'est un détour par le passé qui permet de parler aussi de ce qu'il se passe aujourd'hui en Algérie, où la révolution du sourire doit beaucoup aux femmes. » La discussion, elle en est consciente, se déroulera « sur un territoire chargé d'histoire ». L'intervention de représentants de la communauté harkie y est donc naturelle. « Avec "Ancrage", nous nous sommes dit qu'il aurait fallu associer dès le départ les personnes concernées, regrette Anne-Cécile Godard. Mais ce sera peut-être le début de quelque chose à venir, à une nouvelle proposition qui associera tout le monde bien avant, dès le départ. »

 


FILM ANNULE

SAINTE LIVRADE : Leur mobilisation a poussé, l’Uthopie à annuler la projection du fil « Les résistantes » programmée hier.

Jusqu’à quel excès, la communauté harkie ira-t-elle pour se faire entendre ? Hier matin, la liberté d'expression n'a pas pesé bien lourd face au principe de précaution brandi en concertation avec la gendarmerie  par les organisateurs de la projection du film « Les Résistantes », traitant du parcours de femmes proches du FLN.

Prévue hier après-midi en présence de la réalisatrice Fatima Sissani, celle-ci a été annulée en début de matinée suite à la mobilisation sur place de plusieurs membres du CNLH (Comité national de liaison des harkis).

Ils sont venus mettre en pratique leurs menaces et leurs mots violents relayés dans nos colonnes cette semaine.

 « Quelle violence ? Réagit André Asni. j'ai juste dit que si la projection avait lieu, c'était à leurs risques et périls. Mais je vous assure que je n'aurais pas été violent vis-à-vis de qui que ce soit La seule violence dont j'aurais pu être capable aurait été retournée contre moi car, ce matin, quand je me suis levé, je me suis dit que j'étais prêt à aller jusqu'au bout .Pour moi, il s'agit du combat de ma vie. Ma grand-mère a été pendue par ces terroristes. On a tous ici notre drame. je prends comme une provocation qu'on puisse diffuser ici, sur notre territoire chargé d'histoire, un film sur le FLN. Faut-il qu'un harki s'immole pour que l'on nous écoute et obtienne enfin réparation ? »

« Si elle était venue nous voir...» Ces propos de plus en plus radicaux montrent « le désespoir» de cette communauté locale, meurtrie par «les promesses non tenues du président Macron », qui était allée jusqu'à se touiller vers l'extrême droite et le couple Le Pen-Aliot première fois pour se faire en- tendre... Asni concède :« C'est vrai qu'il y a un peu de ça, on est un peu perdus, désespérés, on ne sait plus quoi faire ».

 « Que voulez-vous, tous les gouvernements depuis 1962 nous ont trahis », relance Mohamed, venu hier de Mazamet avec ses décorations militaires sur le cœur pour se battre contre la projection d'un film qu'il suppose « insultant ». Car, et ce n'est pas un détail, lui comme ses autres camarades de mobilisation n'ont rien vu de ce film auquel ils refusent, par leur douleur reçue en héritage, une existence culturelle, ici, si près du camp de Bias.

« Si la réalisatrice était venue nous voir avant, s'il y avait eu concertation, si elle nous avait considérés, alors le climat aurait été plus apaisé. On n'en serait pas venus jusque-là », souligne Boaza Gasmi.

 L’Utopie joue l'apaisement jointe hier, Fatima Sissani rejette l'argument de la concertation : « Je suis qu’ réalisatrice, je ne vais pas aller voir chaque association à chaque fois. Le film existe, s'ils veulent le voir, ils n'ont qu'à se le procurer. Ils auraient vu qu'il n'y a aucune insulte à leur égard, qu'on ne parle pas d'eux. C'est en tout cas la première fois qu'une  telle chose m'arrive. C'est stupéfiant »

Du côté du directeur de l'Utopie, Alexandre Anton, c'est « la tristesse » qui l'emporte. » C'est sans précédent.  Notre métier, c'est de projeter des films, d'inviter les gens à débattre, échanger et en sortir quelque chose de constructif. Là, vu les conditions, ce n'était pas possible. » Reconnaissant le manque de « considération dont souffrent les harkis depuis longtemps », le directeur et son équipe veulent se servir de ce jour noir pour la liberté d'expression pour avancer. « Nous avons pris contact avec Philippe Faucon qui a réalisé "Le Harki", l'un des rares film sur la communauté. On s'engage à organiser une soirée avec lui. Et si ça peut apaiser un petit peu les harkis, ce sera déjà ça de gagné. »

 La journée était portée par l'association bordelaise LesA0C pour l'égalité en partenariat avec l'association locale Ancrage.


 
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Journée Hommage aux Harkis 25 septembre 2019


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Départ d'André Azni pour la marche de Bias (47) à Biarritz (64)............
du mercredi 14 Août au samedi 24 Août 2019

Demain mercredi 14 Août 2019

 Départ à 8 h de André Azni de la cité Astor , de Bias (47)

 245 km à parcourir 



Liste des étapes, distances à parcourir :


    • Le 14 Août BIAS - AIGUILLON  (47)  - 34,2 km
    • Le 15 Août AIGUILLON - HOUEILLÈS (47)  - 31,5 km
    • Le 16 Août HOUEILLÈS - SAINT JUSTIN (40)  - 34,2 km
    • Le 17 Août SAINT JUSTIN - MONT DE MARSAN (40)  - 24,8 km
    • Le 18 Août MONT DE MARSAN - TARTAS (40)  - 27,3 km
    • Le 19 Août TARTAS - DAX (40)  - 28,3 km
    • Le 20 Août DAX - SAINT VINCENT DE TYROSSE (40)  - 23,7 km
    • Le 21 Août SAINT VINCENT DE TYROSSE - BAYONNE (64)  - 30,6 km
    • Les 22 et 23 Août REPOS
    • Le 24 Août BAYONNE - BIARRITZ (64)  - 10 km
    • Pour suivre son parcours: clic ici
    • Pour le contacter: 06 13 79 19 50     et    06 84 61 43 64


Pour encourager André

Tous les soirs arrivée ou départ devant la mairie du lieu de l'étape...

communiqué

Toutes les personnes souhaitant nous accompagner ou nous aider pour la logistique sont les bienvenues. Pour avoir de plus amples renseignements veuillez contacter André Azni, Président de l'Association "Les Harkis et leurs amis" et membre du CNLH au 06 13 79 19 50. Venez nombreux nous rejoindre. N'hésitez pas à relayer cette information autour de vous.


 
Au fil des jours photos et articles pour vous.on va encourager André
 

Villeneuve-sur-Lot : une marche vers le G7 de Biarritz pour défendre la cause des harkis

André Asni (premier plan) avec ses soutiens à son départ de Bias. Publié le  par SudOuest.fr.

T. D.

Le président de l’association des Amis des Harkis veut aller manifester à Bayonne pour faire valoir les droits de sa communauté.

Andre Asni s’est mis en marche ce mercredi matin. Comme il l’avait annoncé, le président de l’association Les Amis des Harkis a entamé sa marche pour Biarritz où se déroulera le G7 à partir du 24 août, à raison de 30 km par jour, accompagné par un camion.

"Ce soir, nous serons à Aiguillon où nous installerons comme dans chaque ville étape un bivouac rappelant l’histoire de notre communauté et les engagements pris par l’État qui ne sont pas tenus. D’ailleurs, nous sommes partis du camp de Bias, où le président Macron avait promis de se rendre…" Il a prévu une arrivée à Bayonne le 21 août, où il appelle la communauté harkie à se mobiliser devant la mairie à 14 heures. D ’ici là, un bel effort l’attend. "J’ai la détermination, je sais que j’y arriverai

 

Trois harkis en marche vers le G7 à Biarritz

Le contentieux entre la communauté harkie et le président de la République Emmanuel Macron vient de prendre une nouvelle forme. Pacifique celle-là. Avec le soutien du Comité national de liaison des harkis, du président Boaza Gasmi, le président de l'association «Les harkis et leurs amis» André Azni, Jean-Claude Haouli et Djillali Makour, accompagnés par un véhicule refuge, ont quitté hier, à 9 heures la cité Astor de Bias, sous les encouragements de quelques amis, pour un périple pédestre de 9 jours qui, à raison de 30 km par jour, les conduira à Biarritz où se tiendra le G7. «C'est là l'aboutissement d'un projet longuement mûri, explique André Azni, spécialiste des coups d'éclat. Je me suis fortement mobilisé en faveur de Macron durant la campagne présidentielle. Je l'ai rencontré à sept reprises depuis trois ans. Il nous avait promis de régler nos problèmes, de venir au camp de Bias et de s'exprimer le 5 décembre 2018. En pure perte ! Je ne veux pas croire qu'il ne tiendra pas ses engagements.» Les harkis clament haut et fort qu'ils ne sont pas du tout d'accord avec le rapport établi par le préfet Ceaux qui a eu pour effet de semer la division entre ceux qui ont vécu dans les camps et ceux qui ont grandi dans les villes. «Pour bénéficier des mesurettes préconisées par le président de la République, il faut être passé par un des camps pendant une période d'au moins 90 jours, tonne André Azni. Il y a là une injustice flagrante.que nous dénonçons». Et de poursuivre : «Cette marche a pour but de nous rappeler au bon souvenir d'Emmanuel Macron. Le rencontrerons-nous ? On ne sait pas. Il faudra voir sur place. Mais une chose est sûre, nous ne le lâcherons pas, à Biarritz, ou ailleurs dans d'autres circonstances. Notre objectif est clair : nous exigeons une véritable loi de réparation et l'inscription dans le marbre du génocide des harkis.»

La première des neuf étapes a conduit les trois marcheurs à Aiguillon


La Dépêche Lucien Mercier


 
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Arrivée AIguillon
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 JEUDI 15 AOÛT
Le départ a eu lieu à 6h du matin  à la fraîcheur  et l'arrivée 13H30 à Houeillès .
 
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ARRIVEE SAINT JUSTIN
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MONT DE MARSAN Reçus par directeur du cabinet du Préfet
 
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ARRIVEE A TARTAS 28 KM

En marche vers le G7 à Biarritz

Partis de Bias (lot et Garonne le 14 août dernier, André Azni et son camarade Djillali Makhout, Président de l’association les Harkis et leurs Amis sont en train de rallier, à pieds, le G7 à Biarritz afin de remettre un courrier au Président Emmanuel Macron, pour le sensibiliser sur le sort de ces « Parias » de la guerre d’Algérie, qui avaient choisi le camp français au terme de la cinquième étape de leur périple et après avoir parcouru 150kms sous un soleil de plomb, suivis par un fourgon, les marcheurs sont arrivés à Tartas dimanche, enfin de matinée. »vu que l’on nous a interdit emprunter la deux fois deux voies, en venant de Mont de Marsan, nous avons été obligés de faire un crochet par saint Sever, ce qui a allongé notre parcours », regrettait André Azni .Celui-ci, âgé de 53 ans nous a confié être né, selon ses propres termes « dans le camp de concentration de Bias.


SENSIBILISATION :


« Nous allons profiter de la présence de milliers de journalistes pour les sensibiliser à notre cause. Nous ne sommes pas violents mais déterminés. » A Tartas, il a retrouvé son contact, Jeanne Nourry ancienne enseignante et conseillère municipale et, elle-même, ancienne pieds noirs », avec laquelle André, Makhout et Paul- Le camarade qui le suit à bord d’un fourgon- ont diné au bien nommé restaurant de la Paix chez Christian Magne à l’invitation de la Tarusate. Apposées sur ledit fourgon, des affiches rappellent l’histoire de leur communauté et les engagements pris par l’Etat qui ne sont très partiellement tenus. Ils sont repartis de Tartas hier matin, à 7 heures, après avoir campés au bord du lac d’Ous pins et prévoient d’arriver à Bayonne demain, où ils espèrent que la communauté harki se mobilisera devant la mairie à 14H, avant d’entamer la dernière ligne droite vers Biarritz. Guy Bop.


Qui sont les Harkis ?


Ce sont les grands oubliés de l’Armée Française exterminés à partir du 19 mars 1962, pour avoir défendu la France en 1914-1918, en 1939-1945, et en Algérie. Ce sont des Arabes, comme on les appelait alors. On ne leur imposait pas encore une étiquette religieuse. Les Arabes et les Berbères avaient le droit d’avoir une autre religion que l’Islam. Ce qui est maintenant condamnable, ils sont obligatoirement musulmans.


 

INFOS HARKIS

  Aujourd’hui, les marcheurs sont arrivés à Tartas.


  • André Azni : «  Enfin, nous avons fait la moitie du chemin !....».

  •  Nous avons été reçus par le directeur de cabinet du préfet des landes, à qui nous avons remis les doléances.


-    Le jour le plus important: C' est le samedi 24 août,où nous devons remettre un courrier à Emmanuel Macron.  je vous demande à tous de venir au point de rdv qui a lieu à Bayonne le samedi matin 10h devant la mairie,  pour remettre tous ensemble  ce courrier au Président de la République. 



Pr    AZNI André Président de l association des harkis et de leurs amis, et membre du CNLH


19 Août Arrivée à Dax
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20 AOUT DAX POUR L'ARRIVEE à ST VINCENT DE TYROSSE
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ARRIVEE A SAINT VINCENT DE TYROSSE
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21 AOUT SAINT VINCENT DE TYROSSE à BAYONNE

A SAVOIR!.....

Encore quelques photos de saint Vincent de TYROSSE sur la place de la MAIRIE ...où ANDRÉ AZNI s'est installé avec ses banderoles... 


  • Il vous fait dire que Le Maire n'était pas d'accord et a fait venir les gendarmes


"Mais, ensuite,André avait l'.... "Autorisation préfectorale !!!"



                                Donc tout est entré dans l'ordre


 
 

Les harkis refoulés du G7 de Biarritz

Voilà deux jours, les trois représentants de l'association «Les Harkis et leurs amis» ont bouclé le périple pédestre qui les a conduits à Biarritz où demain va débuté le G7. Un périple éprouvant pour le président André Azni et ses deux accompagnateurs mais heureux d'avoir accompli leur mission.

 

Une heure au commissariat


«Dès notre arrivée avec nos banderoles largement déployées nous avons été contrôlés et refoulés avec beaucoup d'égards, indique André d'une voix calme. Une situation à laquelle nous nous attendions. Nous avons été contraints de nous replier sur Bayonne. Au moindre déplacement, nous devons montrer patte blanche. Six contrôles en tout à ce jour.» Une fois cependant, les choses sont allées plus loin : «On nous a arrêtés et gardés pendant une heure au commissariat de police de Biarritz. Les policiers ont pointé du doigt nos banderoles et se sont renseignés auprès de la préfecture pour voir si nous avions bien l'autorisation de manifester. Et comme nous étions en règle…»

Un fait a choqué les trois harkis au moment de leur interpellation :une policière a jeté au sol leur drapeau français ; André s'est offusqué de cet acte «commis par quelqu'un qui est censé servir la cause nationale.» La même policière l'a ramassé sous l'œil de la caméra d'un média national. Samedi matin, des harkis du Lot-et-Garonne et du Vaucluse se joindront à André, Jean-Claude, Djillali, et à leurs amis des Landes et des Pyrénées-Atlantiques pour remettre leur lettre de revendications à un conseiller de Macron. Après quoi, ce sera le retour à Bias.

 

     

                                                                                                                                                                      De notre correspondant local, Lucien Mercier


G7 : UNE INTERPELLATION POLICIÈRE MUSCLÉE À BIARRITZ FAIT POLÉMIQUE

A Biarritz, les forces de l'ordre sont plus que jamais sur les nerfs alors que doit s'ouvrir samedi un sommet du G7 sous haute sécurité, les «anti» étant bien décidés à faire entendre leurs revendications lors de ce rendez-vous sur les grands enjeux du monde. La preuve des tensions avec cette vidéo d'une interpellation policière qui fait polémique.

La scène intervient dans le cadre d'un reportage de France Info "clic sur le lien en rouge" suivant le quotidien de Romain et Sabine, deux agents venus de Bretagne et mobilisés spécialement pour l'événement, tout comme 13.200 gendarmes et policiers issus des quatre coins de l'Hexagone. Au commissariat de la cité balnéaire, un appel de riverains alerte sur la présence a priori suspecte d'une camionnette portant des «inscriptions anti-G7 apparemment en référence à des camps de concentration, mais pour l'instant on n'en sait pas plus», explique Romain. Après vérification dans les fichiers de la police, il s'avère que le conducteur du véhicule est «en défaut de permis» et n'a donc «pas le droit de conduire.

Le fourgon passant alors devant le commissariat, les policiers décident de l'arrêter. C'est là que survient la séquence controversée, repérée par un internaute et relayée par le journaliste David Dufresne, spécialiste des violences policières. Elle montre un des agents dégainer son arme, braquer le conducteur du véhicule et exiger de lui qu'il mette «les mains sur le volant». Et ce, quand bien même il ne semble pas y avoir de danger. L'homme s'exécutant, le policier finit par ranger son arme. Tandis que l'homme est fouillé au corps puis menotté, on peut lire les affiches collées sur sa camionnette : «L'Etat français nous a mis dans des camps de concentration 'Bias'» et «Où sont la grandeur et l'honneur de la France, monsieur Macron ?»

«ON A FAIT CE QU'ON AVAIT À FAIRE»

Interpellés, le conducteur et son passager, qui se disent «non-violents», sont amenés au commissariat. Si les forces de l'ordre jugent les affiches «choquantes» («ce n'est pas le moment d'utiliser des termes aussi forts», selon Romain), celui qui se présente comme le président d'un comité pour les harkis explique justement profiter du G7 pour se faire entendre : «Si on ne le fait pas aujourd'hui, quand est-ce qu'on va le faire ?»

«Vous êtes peut-être choqué, mais actuellement on prend le maximum de précautions [...] Une fois que j'ai vu que monsieur avait mis ses mains en l'air, j'ai rangé mon arme», se défend le policier pour tenter de justifier son intervention musclée. «On nous demande d'être vigilants. On est là pour la sécurité des personnes et des biens. On a fait ce qu'on avait à faire», renchérit sa collègue.

 

 

QUATRE DES REPRESENTANTS ASSOCIATIFS ONT ÉTÉ REÇUS PAR LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA SOUS PRÉFECTURE DE BAYONNE, POUR REMETTRE UN COURRIER A L ATTENTION DE MONSIEUR MACRON


La Video

Suite à la Video reportage du G7

L Association Les Harkis et leurs amis dont l'attitude des membres qui se sont conformés au droit ne saurait être mise en cause appelle au respect de la loi et du droit dans un esprit républicain conformément a la Constitution française. La communauté Harkie offensée et la France outragée méritent ensemble que la vérité soit faite sur cette affaire. Le Ministre de l Intérieur, et le Procureur de la République, doivent impérativement se saisir de cette affaire, il en va de l'ordre public. Les éléments de preuve enregistrés par le journaliste doivent être saisis. Ces preuves démontrent que ni le droit ni la morale n'ont été respectés et que le drapeau a été outragé par une Policière, de la même manière que les sifflets du stade de France du 11 Mai 2002 ont outragé la Patrie, suscitant l indignation totale des Françaises, des Français. Outre la vidéo publique démontre la volonté de mise en scène du Policier arme au poing pour un contrôle qu’ il justifie par une information de camionnette suspecte alors que nous avons été contrôlés 6 fois et que nous étions munis de toutes les autorisations nécessaires, et qu’ il ne pouvait pas l’ignorer à moins de n avoir pas respecté le protocole d intervention régi par le Code et les textes. L'IGPN doit faire toute la lumière sur ce fait précis. Vive la République, vive la France, vivent les Harkis.


Lettre à Macron
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Journée des Harkis 25 septembre 2019

Le 25 septembre à 11 heures au camp de Bias commémoration et dépôts de gerbes.Venez Nombreux!...
Un verre de l'Amitié clôturera la matinée
 

Coordonnées

Amicale Pieds Noirs 47
Siège social Mairie de Castelculier
47240 CASTELCULIER

Présidente: Mme Henriette Roig 
11, rue André Malraux
 47520  LE PASSAGE
Tél. : 05 53 96 08 80 

Vice-Présidente,secrétaire: Mme Geneviève Ture

La Téoulère

47470 DONDAS

Tél :05 53 95 35 81

Trésorière : Mme Anne-marie Legoff

329 rue Franc Pommiès 

 47000 AGEN 

05 53 95 77 75

Que symbolise la date du 19 mars 1962? Le 19 mars 1962 est le jour de la publication des accords d’Evian entre la France et le FLN algérien pour un cessezle-feu en Algérie. La France s’est engagée à se retirer d’Algérie et le FLN s’est engagé à protéger les civils européens et les Harkis sur son territoire
 
Un peu d’Histoire De Gaulle, l'Echo d'Alger du 24 octobre 1958 "Quelle hécatombe connaîtrait l'Algérie si nous étions assez stupides et assez lâches pour l'abandonner" De Gaulle au Général Bigeard le 27 août 1959 "Moi vivant, jamais le drapeau FLN ne flottera sur l'Algérie"
 
Cessez-le-feu unilatéral de la France qui a décidé et signé sa défaite. Après 7 jours, le 26 mars à Alger, rue d’Isly, l’armée Française ouvre-le-feu sur la population dont le seul crime est de vouloir rester Français. En Avril 1962, on dénombre 32 attentats du FLN, le 17 avril commencent officiellement les enlèvements d’Européens, et le 14 mai le FLN rompt officiellement le cessez le feu… Le 5 juillet 1962. Oran connait sa ''Saint Barthélemy'' Une chasse à l'Européen commence dès 11 heures du matin, dans toute la ville. On tue au revolver, à la mitraillette, on égorge, on mutile. De longs cortèges d'Européens sont conduits vers le Petit Lac où ils sont exécutés par une foule en délire. En quelques heures, près de 700 personnes sont tuées sans que l'armée française forte de 18 000 hommes n'intervienne, suivant les consignes du pouvoir à Paris. Il faudra qu'un jour la France et l'Algérie répondent de ce massacre, et que l'Algérie accepte d'ouvrir le charnier, ce qu’elle refuse toujours.
 
Les Harkis dans l’Histoire, suite au 19 mars 1962 Au lendemain du 19 mars, les 70 000 supplétifs de l'armée française dont 43 000 Harkis, soldats qui ont cru en la parole de la France, et se sont battus pour elle… Ils sont désarmés et leurs unités dissoutes. Des traîtres aux yeux du FLN… 150 000 égorgés avec femmes et enfants (B. Moinet). D'anciens officiers des sections administratives spécialisées (SAS) tentent de les exfiltrer discrètement en métropole. Le 12 mai, le ministre des Armées, Pierre Messmer, commande une enquête sur les départs clandestins de Harkis, réclamant des sanctions pour les officiers qui les ont organisées. Le même jour, le ministre des Affaires algériennes, Louis Joxe, adresse à Christian Fouchet, haut-commissaire de la République en Algérie, une note sévère l'informant que "les supplétifs débarqués en métropole en dehors du plan général de rapatriement seront en principe renvoyés en Algérie". De Gaulle confirme cette décision le 23 mai, Louis Joxe l'explique au Conseil des ministres le lendemain : "Les Harkis veulent partir en masse. Il faut combattre une infiltration qui, sous prétexte de bienfaisance, aurait pour effet de nous faire accueillir des éléments indésirables". Une grande partie des survivants arrivés en France ont été concentrés dans des camps fermés et gardés. Ils avaient acquis la nationalité française au prix de leur sang! Leurs souffrances physiques, matérielles et morales sont le fruit d’une trahison, de l’indifférence et de l’ingratitude (C. Brière) Il faudra bien qu’un jour les signataires de ce génocide soient jugés.

 
Le FLN en France au lendemain du 19 mars 1962 Roger Frey "Les Algériens entretiennent en France une police, une magistrature, une diplomatie parallèles. Les dirigeants du FLN ont la volonté d’établir un véritable droit d’exterritorialité. Tout contrôle que nous faisons serait, selon eux, contraire aux accords d’Evian. Tout café musulman est à leurs yeux une partie intégrante du territoire algérien
Si nous procédons à l’interpellation d’un suspect, aussitôt deux à trois cents manifestants se réunissent pour demander sa remise en liberté au nom des accords d’Evian. Si un musulman est arrêté pour port d’arme, il explique : je suis un diplomate, j’appartiens au Quai d’Orsay du FLN" Pour eux, la France est un territoire conquis, ils ont gagné la guerre … Pendant que la France se flagelle dans la culpabilité et la repentance, alors qu’elle a construit l’Algérie, créé sa richesse, trouvé du pétrole, etc...
 Ben Bella au congrès du FLN à Tripoli "Il faut éradiquer tout ce qui reste de la présence française en Algérie"
 Hocine Aït Ahmed en 1989 (un des principaux dirigeants du FLN) "Il y a eu envers les pieds noirs des fautes inadmissibles, des crimes de guerre envers des civils innocents et dont l'Algérie devra répondre au même titre que la Turquie envers les Arméniens" le Figaro.
 
Les Pieds-noirs et le 19 mars 1962 Albert Camus "A lire une certaine presse, il semblerait vraiment que l'Algérie soit peuplée d'un million de colons à cravache et à cigare, montés sur Cadillac" Les Pieds-noirs et moi-même dans notre besoin de survie, de s’intégrer, de vous épargner la haine… nous nous sommes fondus dans le paysage... en vous faisant un silence sur notre passé, nos morts et ceux qui n'ont pas eu la chance de survivre aux massacres... Cette date du 19 mars nous ramène à chaque fois que nous la voyons sur une plaque à la fin honteuse de la guerre d'Algérie que la France a perdu au prix de nombreuses de ses vies et d'un exode sans précédent dans son Histoire. Personnellement, je ne pourrais jamais habiter une rue portant ce nom!
 
Le 19 mars 1962 symbolise: 

 • Une traîtrise de De Gaulle,
 • Une honte pour la France et son Armée,obligée d’abandonner le terrain et de sacrifier ses alliés.
 • La livraison de l’Algérie aux terroristes tueurs du FLN.
 • Le début des massacres dans des conditions insupportables 
 • Dire que c’est le jour du cessez-le-feu est une ignominie.
 • Dire que c’est la fin de la guerre est nier l’évidence
 • Quand les historiens seront dépolitisés, l’Histoire révélera sa Vérité.

 


Si  t'as pris la valise et parfois le cercueil
Et  que tu marches droit malgré tous ces écueils,
Dans les plis du  drapeau si t'as séché tes larmes
Et  que vaincu mais fier t'as déposé les armes, 
Si  tu regardes devant sans oublier l'histoire
Et  que de tes racines tu gardes la mémoire, 
Si  la vue d'une orange te transporte vers ailleurs 
Où  la vie était douce et pleine de chaleur,
Si  tous ces morts pour rien hantent encore tes  nuits
Et  que parfois tu hurles pour pas qu'on les  oublie,
Si  tu penses à tes pères qui traçaient les sillons
Et  arrosaient la graine de leur transpiration,
Si  le soleil a fuit mais qu'il est dans tes yeux
Et  transforme ta voix en accent merveilleux,
Alors redresse toi  tu peux en être fier
Maintenant j'en suis  sûr, t'es un pied-noir mon frère

de Mancho René

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